Auteur : Jean-Patrick Manchette (1942 - 1995)
Date de parution : 1977
Mon édition : Gallimard
Ma collection : Folio Policier
Le prix auquel je l'ai acheté : emprunté
Genre : Roman
Nombre de pages : 151
Résumé :
Les personnages principaux :
Aimée Joubert : personnage principal du roman, c'est une meurtrière professionnelle. Elle intègre la vie à Bléville, et veut faire tomber tout le réseau des riches. Alors elle monte le baron Jules contre eux tous. Soucieux de leur réputation, les "riches" de Bléville veulent se débarrasser à tout prix du baron Jules. Aimée s'en charge, se fait payer pour, et les tue tous dans un ultime conflit, avant de fuir à nouveau.
Lindquist : notaire de Bléville.
Moutet : cadre de Bléville.
Madame Moutet : femme de Moutet.
Lorque : chef de l'entreprise L&L.
Sonia Lorque : femme de Lorque. A la fin du roman, c'est elle qui manque tuer Aimée.
Lenverguez : chef de l'entreprise L&L.
Madame Lenverguez : femme de Lenverguez.
Baron Jules : enfermé en hôpital psychiatrique puis relâché par le docteur Sinistrat, on le découvre dans le roman en train d'uriner sur un mur, à l'occasion d'une fête bourgeoise donnée à Bléville.
Sinistrat : médecin de Bléville.
Mon avis :
Je vais peut-être paraître injuste avec ce livre, mais je considère qu'il n'a rien : ni l'intrigue, ni l'intérêt, ni l'écriture. L'intrigue est plate, inutile. Il n'y a pas de suspens, pas d'émotion, rien. L'intérêt est nul, inexistant : c'est un sujet commun. Cependant, l'auteur aurait pu appuyer sur la critique sociale, ou sur un autre aspect, je ne sais pas ! Il y a dans ce livre des chemins, des directions intéressantes qui sont donné(e)s, mais Manchette ne rentre pas dedans. On dirait qu'il surplombe son roman, et le point de vue externe permanent le prouve à merveille ! Oui, c'est cela : l'auteur est extérieur à son roman, comme s'il observait et qu'il décrivait ce qu'il voyait. Rien de plus. Enfin, alors que l'écriture aurait éventuellement pu rattraper le texte, il n'en est rien ! C'est une écriture bien souvent incorrecte, sans style, vide, et vulgaire ! Je n'irais cependant pas jusqu'à dire que ce roman est médiocre ; simplement, j'affirme qu'il donne l'impression d'avoir été écrit d'une traite, comme une ébauche à travailler, et qu'il a été publié ainsi.
Ma note :
Mon édition : Gallimard
Ma collection : Folio Policier
Le prix auquel je l'ai acheté : emprunté
Genre : Roman
Nombre de pages : 151
Résumé :
Aimée a tout pour plaire aux notables de Bléville : jeune, belle et veuve, elle s'intègre rapidement dans la sociabilité de cette ville de province rongée par l'habituel cocktail d'histoires de fesses et d'histoires de fric qu'on garde entre soi. Aimée observe. Elle attend la crise inévitable, celle qui finit toujours par éclater. Alors elle pourra enfin jouer franc jeu avec tous ces pourris, et les faire payer, dans tous les sens du terme. Car ce que personne ne sait, c'est qu'Aimée est une tueuse professionnelle...
Les personnages principaux :
Aimée Joubert : personnage principal du roman, c'est une meurtrière professionnelle. Elle intègre la vie à Bléville, et veut faire tomber tout le réseau des riches. Alors elle monte le baron Jules contre eux tous. Soucieux de leur réputation, les "riches" de Bléville veulent se débarrasser à tout prix du baron Jules. Aimée s'en charge, se fait payer pour, et les tue tous dans un ultime conflit, avant de fuir à nouveau.
Lindquist : notaire de Bléville.
Moutet : cadre de Bléville.
Madame Moutet : femme de Moutet.
Lorque : chef de l'entreprise L&L.
Sonia Lorque : femme de Lorque. A la fin du roman, c'est elle qui manque tuer Aimée.
Lenverguez : chef de l'entreprise L&L.
Madame Lenverguez : femme de Lenverguez.
Baron Jules : enfermé en hôpital psychiatrique puis relâché par le docteur Sinistrat, on le découvre dans le roman en train d'uriner sur un mur, à l'occasion d'une fête bourgeoise donnée à Bléville.
Sinistrat : médecin de Bléville.
Mon avis :
Je vais peut-être paraître injuste avec ce livre, mais je considère qu'il n'a rien : ni l'intrigue, ni l'intérêt, ni l'écriture. L'intrigue est plate, inutile. Il n'y a pas de suspens, pas d'émotion, rien. L'intérêt est nul, inexistant : c'est un sujet commun. Cependant, l'auteur aurait pu appuyer sur la critique sociale, ou sur un autre aspect, je ne sais pas ! Il y a dans ce livre des chemins, des directions intéressantes qui sont donné(e)s, mais Manchette ne rentre pas dedans. On dirait qu'il surplombe son roman, et le point de vue externe permanent le prouve à merveille ! Oui, c'est cela : l'auteur est extérieur à son roman, comme s'il observait et qu'il décrivait ce qu'il voyait. Rien de plus. Enfin, alors que l'écriture aurait éventuellement pu rattraper le texte, il n'en est rien ! C'est une écriture bien souvent incorrecte, sans style, vide, et vulgaire ! Je n'irais cependant pas jusqu'à dire que ce roman est médiocre ; simplement, j'affirme qu'il donne l'impression d'avoir été écrit d'une traite, comme une ébauche à travailler, et qu'il a été publié ainsi.
Ma note :
Critères
|
Barème
|
Écriture
|
06,5/16
|
Style
|
01/04
|
Fluidité
|
01/03
|
Richesse du vocabulaire
|
01/04
|
Difficulté de compréhension
|
02,5/03
|
Mouvements du texte ( plat, très
dynamique, alterné )
|
01/02
|
Histoire
|
06/19
|
Intérêt
|
01/03/15
|
Importance des personnages et
familiarisation entre eux et le lecteur
|
01/03
|
Captivant ou ennuyeux ?
|
02/06
|
Émouvant ?
|
0,5/05
|
Crédibilité / Cohérence
|
01,5/02
|
Le livre
|
01/03
|
Goût personnel
|
00/02
|
Total
|
12,5/40
|
06.25/20
|
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