Auteur : William Shakespeare (1564 - 1616)
Traducteur : François-Victor Hugo
Date de parution : 1605
Mon édition : Pagnerre
Le prix auquel je l'ai acheté : 15-20€
Genre : Théâtre
Nombre de pages : 105
Résumé :
Mon édition : Pagnerre
Le prix auquel je l'ai acheté : 15-20€
Genre : Théâtre
Nombre de pages : 105
Résumé :
Antonio, le marchand de Venise, a des dettes auprès de son ami Bassanio et du riche juif Shylock. Hors, une sorte de malédiction s'abat sur Antonio : tous ses navires s'échouent sur des récifs, comme si une tempête incontrôlable y guidait toute sa richesse. En parallèle, Lorenzo, amoureux de Jessica, la fille de Schylock, enlève celle-ci à son foyer - avec son consentement. Mais Jessica fuit avec sur elle tous les bijoux et les ducats de son père, alors horrifié face à sa ruine proche. Mais il se souvient de la dette qu'a envers lui le pauvre Antonio. Il va alors la lui réclamer, alors que celui-ci ne peut la payer. S'engage ainsi dans le dernier acte un procès qui déterminera de qui, entre Schylock et Antonio, a raison. Entre temps, la riche héritière Portia met à disposition de ses différents prétendants trois coffres : un d'or, un d'argent et un de plomb. Dans un se trouve le portrait de la belle Portia. Celui qui ouvrira le bon coffre s'en verra confier la main de l'héritière. Passent le prince de Maroc et celui d'Aragon, sans succès. Puis arrive le bon ami d'Antonio, Bassanio, pour qui Portia a déjà beaucoup d'affection. Son choix face aux coffres définira à la fois sa vie - avec ou sans Portia -, celle de son doux ami Gratiano - avec ou sans Nérissa ? - et, enfin, celle d'Antonio - aidé de l'argent de Bassanio ou non ?
Lecture commentée
Lecture commentée
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire