samedi 14 novembre 2015

Paris

Pour les morts, mais surtout les vivants.
Pour les torts, mais surtout les mourants.
Pour les remords de Paris et de ses habitants.
Les monstres sur notre ville a frappé.
La terreur règne comme chaque jour de cette année.
Nous sommes la France, nous somme Paris !
Nous sommes Français, notre Patrie !
Il y a eu des morts, et puis des blessé.
Il y aura des morts, et puis des blessés.
Mais nous survivrons, car nous sommes unis.
Nous dépasserons le diable vers notre infini ;
Pas le leur, le notre.
Pas la Peur, la vôtre.
On dit que la France va mal,
On crache que tout est fatal,
Mais on oublie qu'on est un.
La France de sa propre mort semble avoir faim.
Mais regardez autour de vous !
Voulez-vous encore vous plaindre
De l'économie, des pauvres et des riches,
De la politique, de l'injustice et des hémistiches
Sociaux ? Parlerez-vous encore des inégalités,
Du manque de liberté ou de fraternité ?
Insulterez-vous encore la France ?
Ou marcherez-vous ensemble, avec dignité,
Dans les pas d'un pays meurtri de trop d'ignorance ?
Les silence des morts de Paris, je l'espère,
Vous feront prendre conscience que le sang coule,
Et que seule la Patrie est mère

D'un soutien véritable ou d'une hypocrisie de foule.

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