Pour les morts, mais
surtout les vivants.
Pour les torts, mais
surtout les mourants.
Pour les remords de Paris
et de ses habitants.
Les monstres sur notre
ville a frappé.
La terreur règne comme
chaque jour de cette année.
Nous sommes la France,
nous somme Paris !
Nous sommes Français,
notre Patrie !
Il y a eu des morts, et
puis des blessé.
Il y aura des morts, et
puis des blessés.
Mais nous survivrons, car
nous sommes unis.
Nous dépasserons le
diable vers notre infini ;
Pas le leur, le notre.
Pas la Peur, la vôtre.
On dit que la France va
mal,
On crache que tout est
fatal,
Mais on oublie qu'on est
un.
La France de sa propre
mort semble avoir faim.
Mais regardez autour de
vous !
Voulez-vous encore vous
plaindre
De l'économie, des
pauvres et des riches,
De la politique, de
l'injustice et des hémistiches
Sociaux ?
Parlerez-vous encore des inégalités,
Du manque de liberté ou
de fraternité ?
Insulterez-vous encore la
France ?
Ou marcherez-vous
ensemble, avec dignité,
Dans les pas d'un pays
meurtri de trop d'ignorance ?
Les silence des morts de
Paris, je l'espère,
Vous feront prendre
conscience que le sang coule,
Et que seule la Patrie est
mère
D'un soutien véritable ou
d'une hypocrisie de foule.
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