Auteur : John Green (né en 1977)
Traducteur : Catherine Gibert
Date de parution : 2012
Mon édition : Nathan
Le prix auquel je l'ai acheté : 10 - 15 €
Genre : Roman
Nombre de pages : 327 + remerciements et biographie de l'auteur
Niveau de difficulté : Facile
Résumé :
Le roman raconte l'histoire de deux adolescents atteints de cancer. Hazel Grace Lancaster est la narratrice âgée de 16 ans. Ses parents l'obligent à fréquenter un groupe de soutien pour les malades atteints d'un cancer. Durant les séances, elle fait la connaissance d'Augustus Waters. Les deux adolescents se passionnent pour un roman de Peter Van Houten, qui se termine brutalement au milieu d'une phrase. Curieux du sort des personnages, Hazel et Augustus envisagent de se rendre à Amsterdam afin de rencontrer l'auteur. Ils effectuent le voyage grâce à une fondation d'aide aux enfants malades qui se charge d'exaucer leur vœu le plus cher. Une histoire d'amour se crée entre les deux adolescents. Durant leur séjour, Augustus, en rémission, fit une rechute.
Mon avis :
Ce livre a ce petit quelque chose de grandiose qui fait toute la différence. Etant un très grand best-seller et l'ayant vu en film, je m'étais fixé comme objectif de l'avoir impérativement dans ma bibliothèque. Et je l'ai lu en deux jours !
Ce qui fait notamment cette différence par rapport aux nombreux autres livres américains, c'est cette capacité qu'a l'auteur à nous captiver mais, en plus de son intrigue, il y parvient par son style. En effet, alors que nombre d'auteurs peuvent avoir un "style américain", soit fade et plat, avec Green, c'est différent : il sait écrire, c'est chose indéniable. Son roman est non seulement empli de multiples métaphores, mais Green propose aussi dans son livre de nombreuses réflexions sur la vie, la mort et tout ce qui les entoure ou les concerne. Grâce à son écriture, il parvient également à amener une belle ironie, notamment dans les paroles de Gus, faisant de son roman à la fois un roman drôle, émouvant et époustouflant. J'avoue cependant que son écriture ne m'a pas transporté au bord des larmes, contrairement à Tes Mots sur mes lèvres de Katja Millay.
Quant à l'intrigue, elle est tout simplement captivante. Dès le début, les deux premiers chapitres, introductifs, se lisent sans problème. Ensuite, que dire de plus si ce n'est que j'ai lu à peu près 250 pages sur 327 en une journée, sans m'être ennuyé. Je disais dans ma dernière lecture commentée que Zola se dégustait, et non se dévorait. Avec Green, c'est complètement l'inverse : Green se dévore, etton en redemande.
Dans l'ensemble, c'est donc un livre d'une extrême facilité de compréhension, mais qui renferme cependant de nombreux aspects philosophiques et psychologiques, et c'est ce qui fait, en quelque sorte, sa complexité.
Ma note :
Mon avis :
Ce livre a ce petit quelque chose de grandiose qui fait toute la différence. Etant un très grand best-seller et l'ayant vu en film, je m'étais fixé comme objectif de l'avoir impérativement dans ma bibliothèque. Et je l'ai lu en deux jours !
Ce qui fait notamment cette différence par rapport aux nombreux autres livres américains, c'est cette capacité qu'a l'auteur à nous captiver mais, en plus de son intrigue, il y parvient par son style. En effet, alors que nombre d'auteurs peuvent avoir un "style américain", soit fade et plat, avec Green, c'est différent : il sait écrire, c'est chose indéniable. Son roman est non seulement empli de multiples métaphores, mais Green propose aussi dans son livre de nombreuses réflexions sur la vie, la mort et tout ce qui les entoure ou les concerne. Grâce à son écriture, il parvient également à amener une belle ironie, notamment dans les paroles de Gus, faisant de son roman à la fois un roman drôle, émouvant et époustouflant. J'avoue cependant que son écriture ne m'a pas transporté au bord des larmes, contrairement à Tes Mots sur mes lèvres de Katja Millay.
Quant à l'intrigue, elle est tout simplement captivante. Dès le début, les deux premiers chapitres, introductifs, se lisent sans problème. Ensuite, que dire de plus si ce n'est que j'ai lu à peu près 250 pages sur 327 en une journée, sans m'être ennuyé. Je disais dans ma dernière lecture commentée que Zola se dégustait, et non se dévorait. Avec Green, c'est complètement l'inverse : Green se dévore, etton en redemande.
Dans l'ensemble, c'est donc un livre d'une extrême facilité de compréhension, mais qui renferme cependant de nombreux aspects philosophiques et psychologiques, et c'est ce qui fait, en quelque sorte, sa complexité.
Ma note :
Critères
|
Barème
|
Écriture
|
15/16
|
Style
|
04/04
|
Fluidité
|
03/03
|
Richesse du vocabulaire
|
03/04
|
Difficulté de compréhension
|
03/03
|
Mouvements du texte ( plat, très
dynamique, alterné )
|
02/02
|
Histoire
|
17/19
|
Intérêt
|
03/03
|
Importance des personnages et
familiarisation entre eux et le lecteur
|
03/03
|
Captivant ou ennuyeux ?
|
06/06
|
Poignant ?
|
04/05
|
Crédibilité / Cohérence
|
02/02
|
Le livre
|
03/03
|
Goût personnel
|
02/02
|
Total
|
37/40
|
18,5/20
|
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