Auteur : Jean-Claude Grumberg (1939 - ?)
Date de parution : 1979
Mon édition : Flammarion
Le prix auquel je l'ai acheté : 2-5 €
Genre : Théâtre ( historique )
Nombre de pages : 138
Résumé :
Dans un atelier de confection, de 1945 à 1952, des employés travaillent et, entre rires et larmes, racontent leur vie pendant l'Occupation et dans l'immédiat après-guerre : un Juif qui a été déporté, un autre qui a vécu caché en zone occupée, une troisième qui s'est réfugiée en zone libre, une quatrième, encore, dont le mari a été arrêté et envoyé dans les camps, mais aussi des jeunes gens à peine touchés par la guerre et une femme dont le mari fonctionnaire a peut-être collaboré... Autant de destins différents qui se croisent et soulèvent tous la même question : comment vivre après le traumatisme de la guerre et de la Shoah ?
Mon avis :
C'est une pièce de théâtre qui a énormément de profondeur. En effet, le fait que l'histoire se situe dans l'après-guerre, avec le retour des déportés notamment, permet des sujets de conversation bourrés de sens. Même si, en apparence, les répliques semblent basiques, simples, elles recèlent grand nombre d'élément fort intéressants et captivants. Cependant, le sérieux du sujet est un peu rattrapé par le manque, à mon goût, de qualité littéraire. Autant on peut reprocher à Duras d'être trop dans l'oralité, autant Grumberg l'est trop. Il fait parler ses personnages comme on parle dans la rue des années 1940-1950. Mais ce détail négatif peut néanmoins être un choix de l'auteur, voulant ce décalage entre les propos et la rhétorique utilisée, et de façon à s'ancrer dans un réel, pour mieux percuter le lecteur ou le spectateur.
Ma note :
Mon avis :
C'est une pièce de théâtre qui a énormément de profondeur. En effet, le fait que l'histoire se situe dans l'après-guerre, avec le retour des déportés notamment, permet des sujets de conversation bourrés de sens. Même si, en apparence, les répliques semblent basiques, simples, elles recèlent grand nombre d'élément fort intéressants et captivants. Cependant, le sérieux du sujet est un peu rattrapé par le manque, à mon goût, de qualité littéraire. Autant on peut reprocher à Duras d'être trop dans l'oralité, autant Grumberg l'est trop. Il fait parler ses personnages comme on parle dans la rue des années 1940-1950. Mais ce détail négatif peut néanmoins être un choix de l'auteur, voulant ce décalage entre les propos et la rhétorique utilisée, et de façon à s'ancrer dans un réel, pour mieux percuter le lecteur ou le spectateur.
Ma note :
Critères
|
Barème
|
Écriture
|
09/16
|
Style
|
02/04
|
Fluidité
|
02/03
|
Richesse du
vocabulaire
|
00/04
|
Difficulté de
compréhension
|
03/03
|
Mouvements du texte
( plat, très dynamique, alterné )
|
02/02
|
Histoire
|
14/19
|
Intérêt
|
03/03
|
Importance des
personnages et familiarisation entre eux et le lecteur
|
02/03
|
Captivant ou
ennuyeux ?
|
04/06
|
Poignant ?
|
03/05
|
Crédibilité /
Cohérence
|
02/02
|
Le
livre
|
02/03
|
Goût
personnel
|
02/02
|
Total
|
27/40
|
|
13,5/20
|
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