Date de représentations : 1597
Mon édition : Étonnants classiques
Le prix auquel je l'ai acheté : 2-5 €
Genre : Théâtre ( Tragédie )
Nombre de pages : 193
Résumé :
Dans la Vérone de la Renaissance, Roméo s'éprend de Juliette. Mais ls jeunes gens appartiennent à deux familles ennemies depuis toujours, les Montaigu et les Capulet. Pour avoir préféré l'amour à la haine, les deux amants connaîtront un destin tragique.
Mon avis :
Roméo et Juliette, c'est certes un grand classique, que l'on m'a beaucoup conseillé, dont tout le monde a entendu parler et connaît l'histoire, mais j'avoue avoir mis du temps avant de me plonger dedans. Cette pièce est étrange, dirais-je, car, en soi, l'histoire de la rencontre et du début de l'amour des deux personnages, le fait que tout se passe en une seule et même journée, et la fin, où Juliette se tue sur son mari, qu'elle connaît depuis trop peu longtemps, tout ceci, ça fait très cliché, et c'est, il faut le dire, à l'apogée du non-crédible. Mais il s'agit de Roméo et Juliette, il s'agit de Shakespeare, alors, je ne sais pas par quelle magie, personnellement, je pardonne ces maladresses, qui sont tout de même la magie-même du texte. Quant à l'écriture, c'est vraiment l'adjectif "mignon" qui qualifierait celle de Shakespeare ici, cependant, sous ses allures de pièce à l'eau de rose, Roméo et Juliette apporte une vraie leçon de morale quant à la place de l'homme d'Eglise avec le frère Laurent et quant à la question de guerre et de paix entre deux familles, mais c'est un exemple.
Ma note :
Mon avis :
Roméo et Juliette, c'est certes un grand classique, que l'on m'a beaucoup conseillé, dont tout le monde a entendu parler et connaît l'histoire, mais j'avoue avoir mis du temps avant de me plonger dedans. Cette pièce est étrange, dirais-je, car, en soi, l'histoire de la rencontre et du début de l'amour des deux personnages, le fait que tout se passe en une seule et même journée, et la fin, où Juliette se tue sur son mari, qu'elle connaît depuis trop peu longtemps, tout ceci, ça fait très cliché, et c'est, il faut le dire, à l'apogée du non-crédible. Mais il s'agit de Roméo et Juliette, il s'agit de Shakespeare, alors, je ne sais pas par quelle magie, personnellement, je pardonne ces maladresses, qui sont tout de même la magie-même du texte. Quant à l'écriture, c'est vraiment l'adjectif "mignon" qui qualifierait celle de Shakespeare ici, cependant, sous ses allures de pièce à l'eau de rose, Roméo et Juliette apporte une vraie leçon de morale quant à la place de l'homme d'Eglise avec le frère Laurent et quant à la question de guerre et de paix entre deux familles, mais c'est un exemple.
Ma note :
Critères
|
Barème
|
Écriture
|
9/10
|
Orthographe, fautes
de frappe, etc.
|
2/2
|
Style
|
3/4
|
Caractère et
rythme ( ressenti du lecteur face à cette écriture )
|
3/3
|
Fluidité ( très
fluide, normal ou saccadé )
|
1/1
|
Histoire
|
5/7
|
Intérêt
|
1,5/3
|
Importance des
personnages et familiarisation entre eux et le lecteur
|
0,5/1
|
Captivant ou
ennuyeux ?
|
3/3
|
Livre
|
3/3
|
Couverture et mise
en page
|
1/1
|
Feuilles
|
1/1
|
Format et sa
logique vis-à-vis du nombre de pages
|
1/1
|
Total
|
17/20
|
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