Date de parution : 1782
Mon édition : Flammarion
Le prix auquel je l'ai acheté : emprunté
Genre : Roman ( promenades, rêveries )
Nombre de pages : 173
Résumé :
Les dix "Promenades" qui composent Les Rêveries ont été écrites sans ordre préétabli, au hasard des méditations, des souvenirs, des rencontres.
Les Rêveries sont un chef-d'oeuvre, non pas dans la mesure où elles expriment une sérénité olympienne que Rousseau n'a jamais connue, mais comme témoignage de l'échec d'un solitaire, incapable de renoncer à la société des hommes et qui ne peut abandonner le besoin d'écrire. Se refusant à faire un "livre" au sens convenu du terme, il nous offre un nouveau genre littéraire, la rêverie en prose, alors inconnue en France, où s'abandonnant à la marche et aux impressions des sens, il se livre tantôt à la promenade botanique, tantôt à la "promenade" littéraire, forme de délivrance de soi-même par l'écriture.
Mon avis :
J'ai certes lu ces dix promenades rapidement, mais ce n'est pas sans effort ! Rousseau : je voulais tester ( le XVIIIeme, les philosophes, après Voltaire, pourquoi pas Rousseau ? ), et je crois que c'est le dernier livre de lui que je lirai, du moins pour le moment. C'est un livre extrêmement complexe, autant dans la langue que dans les réflexions. Sur les premières promenades, je suivais, mais j'ai commencé à décrocher sur certaines d'entre elles, principalement les dernières, bien que, si je me souviens bien, il me semble avoir adoré la septième. Après, il est indéniable que Rousseau a son propre style et ses propres pensées. Et justement, c'est avec ces pensées que je ne suis pas d'accord. Rousseau émet dans cette oeuvre un tel mépris qu'on a envie de déchirer les pages, mais en même temps de poursuivre la lecture, simplement pour lui donner tort. Mais précisons que ce livre n'était à la base pas destiné à être lu, comme il l'explique dan sa première promenade. Donc, dans l'ensemble, un livre qui se déchiffre difficilement, avec un style singulier mais une opinion trop antipathique vis-à-vis du lecteur.
Ma note :
Mon avis :
J'ai certes lu ces dix promenades rapidement, mais ce n'est pas sans effort ! Rousseau : je voulais tester ( le XVIIIeme, les philosophes, après Voltaire, pourquoi pas Rousseau ? ), et je crois que c'est le dernier livre de lui que je lirai, du moins pour le moment. C'est un livre extrêmement complexe, autant dans la langue que dans les réflexions. Sur les premières promenades, je suivais, mais j'ai commencé à décrocher sur certaines d'entre elles, principalement les dernières, bien que, si je me souviens bien, il me semble avoir adoré la septième. Après, il est indéniable que Rousseau a son propre style et ses propres pensées. Et justement, c'est avec ces pensées que je ne suis pas d'accord. Rousseau émet dans cette oeuvre un tel mépris qu'on a envie de déchirer les pages, mais en même temps de poursuivre la lecture, simplement pour lui donner tort. Mais précisons que ce livre n'était à la base pas destiné à être lu, comme il l'explique dan sa première promenade. Donc, dans l'ensemble, un livre qui se déchiffre difficilement, avec un style singulier mais une opinion trop antipathique vis-à-vis du lecteur.
Ma note :
Critères
|
Barème
|
Écriture
|
6,75/10
|
Orthographe, fautes
de frappe, etc.
|
2/2
|
Style
|
4/4
|
Caractère et
rythme ( ressenti du lecteur face à cette écriture )
|
0,5/3
|
Fluidité ( très
fluide, normal ou saccadé )
|
0,25/1
|
Histoire
|
3,5/7
|
Intérêt
|
2/3
|
Importance des
personnages et familiarisation entre eux et le lecteur
|
0,5/1
|
Captivant ou
ennuyeux ?
|
1/3
|
Livre
|
2,5/3
|
Couverture et mise
en page
|
0,5/1
|
Feuilles
|
1/1
|
Format et sa
logique vis-à-vis du nombre de pages
|
1/1
|
Total
|
12,75/20
|
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