Date de parution : 1954
Edition : Presse de la Cité
Prix : 6-8 €
Genre : Roman, historique, biopic
Nombre de pages : 316
Résumé :
Caryl Chessman raconte son parcours de délinquant qui le conduit inévitablement dans le couloir de la mort. Enfant chétif et malade, il découvre au détour d'une bagarre celle qui deviendra son alliée à la vie à la mort : la haine. De maisons de redressement en prisons, Caryl Chessman ne retiendra qu'une leçon : son aversion pour le monde qui l'entoure. Lors de son ultime arrestation qui l'amènera dans le couloir de la mort il fait l'objet de 17 chefs d'accusation, notamment pour une série d'agressions sexuelles, sans meurtre. L'agresseur fut surnommé par la presse "le bandit à la lanterne rouge". Bien qu'il ait avoué, Caryl Chessman reviendra rapidement sur ses aveux arguant que ceux-ci lui avaient été arrachés par la force lors de son interrogatoire. Décidé à assurer sa défense par lui-même, il multipliera les recours afin de reporter la date de son exécution.
Mon avis :
Ce roman est très agréable à lire, et l'auteur a le don de faire compatir le lecteur avec ses personnages. En effet, en lisant ces pages, on se rend compte que l'on est autant perdu, mentalement parlant, que le protagoniste. C'est assez exceptionnel ! On ne s'ennuie jamais, notamment grâce à l'action permanente. Ce n'est pas comme un de ces romans avec trop de blabla ; ici, si l'on saute un paragraphe, il est fort probable de louper plusieurs éléments extrêmement importants pour la suite de l'histoire. Dans l'ensemble donc un excellent livre, malgré les quelques fautes de frappe et d'orthographe dues à la réédition.
Ma note :
Caryl Chessman raconte son parcours de délinquant qui le conduit inévitablement dans le couloir de la mort. Enfant chétif et malade, il découvre au détour d'une bagarre celle qui deviendra son alliée à la vie à la mort : la haine. De maisons de redressement en prisons, Caryl Chessman ne retiendra qu'une leçon : son aversion pour le monde qui l'entoure. Lors de son ultime arrestation qui l'amènera dans le couloir de la mort il fait l'objet de 17 chefs d'accusation, notamment pour une série d'agressions sexuelles, sans meurtre. L'agresseur fut surnommé par la presse "le bandit à la lanterne rouge". Bien qu'il ait avoué, Caryl Chessman reviendra rapidement sur ses aveux arguant que ceux-ci lui avaient été arrachés par la force lors de son interrogatoire. Décidé à assurer sa défense par lui-même, il multipliera les recours afin de reporter la date de son exécution.
Mon avis :
Ce roman est très agréable à lire, et l'auteur a le don de faire compatir le lecteur avec ses personnages. En effet, en lisant ces pages, on se rend compte que l'on est autant perdu, mentalement parlant, que le protagoniste. C'est assez exceptionnel ! On ne s'ennuie jamais, notamment grâce à l'action permanente. Ce n'est pas comme un de ces romans avec trop de blabla ; ici, si l'on saute un paragraphe, il est fort probable de louper plusieurs éléments extrêmement importants pour la suite de l'histoire. Dans l'ensemble donc un excellent livre, malgré les quelques fautes de frappe et d'orthographe dues à la réédition.
Ma note :
18,5/20
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